Plume de Sims Messages : 115 Date d'inscription : 29/06/2015
| Sujet: [Final] (Sims 3) Les pages de notre amour Mar 14 Juil - 3:35 | |
| - Les pages de notre amour - Feuillet 1:
C'était une fin de soirée, sur un camping, en Chine, à Shang Simla.... il se mit à genoux devant moi, sortit une petite boîte, me regarda, pleins d'amour dans les yeux, il me dit qu'il m'aimait plus que personne d'autre, qu'il voulait passer sa vie auprès de moi, qu'il ne pouvait imaginer sa vie sans moi, que j'étais une femme exceptionnelle, belle, intelligente, compréhensive et tellement plus encore. Puis, il ajouta j'aimerais que tu sois ma femme, qu'on soit ensemble pour toujours. Il a lentement ouvert la petite boîte qu'il tenait dans ses mains, il m'a regardé droit dans les yeux, son visage exprimait l'espoir, puis, il m'a alors demandé: " Voudrais-tu me faire l'honneur et le bonheur immense de m'épouser?" Je n'attendais que ce moment, depuis déjà si longtemps, je l'aimais profondément et je voulais passer ma vie avec lui. Lui aussi était tout pour moi, et je me voyais avec lui pour toujours. Je trouvais si romantique qu'il m'ait fait sa demande en voyage, je lui en avais déjà parlé, subtilement, il s'en était rappelé, il m'écoutait, me comprenait, m'aimait. J'étais si heureuse, je m'empressai de lui dire OUI. Il glissa la bague à mon doigt, elle était magnifique et juste à ma taille. Mon cœur battait très fort...c'était un moment inoubliable, fabuleusement intense pour moi. Un moment de joie gravé dans ma mémoire à tout jamais.
- Les pages de notre amour - Feuillet 2:
On a célébré notre union tous les deux le soir même, c'était très romantique, intime, tout ce que j'avais espérée. Puis, il m'a prit dans ses bras, la nuit était fraîche et je commençais à avoir froid. Je m'y suis blottie. J'ai levé les yeux, rapproché mes lèvres des siennes et on s'est embrassé passionnément...notre passion atteignait des sommets qu'elle n'avait encore jamais atteint, on brûlait de désir l'un pour l'autre.
- Les pages de notre amour - Feuillet 3:
Quelques jours plus tard, de retour à la maison, nous étions comme encore sur un nuage. Il n'y avait que nous deux qui comptait, notre seul compagnie nous suffisait amplement et c'est ce que nous recherchions. Nous restions dans notre cocon douillet, à discuter, s'enlacer, se caliner, s'embrasser. Nous passions de nombreux moments au lit, à s'aimer, parfois tendrement, parfois passionnément, mais toujours avec un profond sentiment d'amour l'un envers l'autre. Un de ces jours, où nous profitâmes de ces petits moments de tendresses, il me prit la main, me sourit, me regardant avec un amour infini, il me souffla: " J'aimerais faire de toi la mère de mes enfants, veux-tu faire de moi un papa?" Je l'ai regardé, dabord un peu surprise, je lui ai demandé, maintenant? Il m'avait déjà dit qu'il ne se voyait papa que lorsqu'il serait un adulte complètement mature. Il m'a répondu: " Oui maintenant, tout de suite, ce soir, je veux te faire un enfant mon amour." Il voulait qu'on fonde notre famille, il voulait qu'on ait des enfants dès maintenant, il était prêt. Il faisait de moi la femme la plus heureuse. Moi qui était peintre à la maison et femme au foyer, j'avais bien hâte d'avoir des enfants pour égayer les longues heures ou mon chéri était au travail. Le temps sans lui me paraissait si long. Avec des enfants, je n'aurais certainement plus le temps de m'ennuyer. Et puis, je me sentais prête à être mère, j'avais beaucoup d'amour à leur consacrer, j'avais les moyens financiers et je croyais bien en posséder le jugement nécessaire.
- Les pages de notre amour - Feuillet 4:
Le désir m'envahit, mon corps était irrésistiblement attiré vers le sien. Je me rapprochai, l'embrasser de manière fougeuse. J'avais envie de le sentir en moi, que nos deux corps ne fassent plus qu'un.
- Les pages de notre amour - Feuillet 5:
Ne retenant plus notre désir, nous nous sommes glissés sous les couverture. Nos mains parcourant nos corps, ses lèvres se posant sur ma douce peau chaude. Nous connûmes l'extase en plusieurs occasions. Puis, nous nous endormîmes lui me serrant dans ses bras. Tout en fermant les yeux, je pensai que peut-être en moi se passait la course des spermatozoïde et que l'un d'eux gagnerait cette course. Après tout, cette fois nous n'avions mis aucune protection. Ce serait peut-être la bonne.
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